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Calogero menace Jordan Bardella de le poursuivre en justice : ce qui n’a pas du tout plu au chanteur

Lundi 3 juin 2024, Calogero a vivement réagi à l’utilisation de son morceau « 1987 » lors d’un meeting de Jordan Bardella au Dôme de Paris.

UN MEETING QUI FAIT BEAUCOUP PARLER
Utiliser des morceaux célèbres pour rythmer des rassemblements et galvaniser des partisans, les hommes politiques le font tous !

DES CHOIX MUSICAUX RÉFLÉCHIS
Que ce soit pour marquer leur entrée en scène ou pour conclure leurs discours sur une note mémorable, ces choix musicaux sont souvent soigneusement calculés.

JORDAN BARDELLA CRÉE LA POLÉMIQUE
Jordan Bardella, président du Rassemblement National, n’échappe pas à cette tradition. Cependant, il pourrait bien devoir revoir ses choix après l’incident survenu ce dimanche 2 juin 2024.

UNE MUSIQUE DE CALOGERO UTILISÉE LORS DU MEETING DU RASSEMBLEMENT NATIONAL
Lors d’un meeting au Dôme de Paris, l’un des derniers avant les élections européennes du 9 juin, Jordan Bardella a diffusé “1987” de Calogero pour clôturer son discours.

JEAN-MARIE LE PEN RESTE DANS LES MÉMOIRES
Cette décision a immédiatement suscité des réactions en ligne. Le compte @EnModeMacron a rappelé sur Twitter : “Pour rappel, 1987 est l’année où Jean-Marie Le Pen parle pour la première fois du ‘point de détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale’”.

LE “POINT DE DÉTAIL DE L’HISTOIRE”
En 1987, Jean-Marie Le Pen, alors à la tête du Front National, avait déclaré que les chambres à gaz n’étaient qu’un « point de détail de l’histoire » de la Seconde Guerre mondiale.

UNE PROVOCATION DE LA PART DE JORDAN BARDELLA ?
Ces propos, restés tristement célèbres, continuent de hanter le parti. Ainsi, l’utilisation de la chanson “1987” par Jordan Bardella a été perçue par certains comme une provocation délibérée, voire un clin d’œil à ce passé controversé.

CALOGERO EN COLÈRE CONTRE JORDAN BARDELLA
Calogero, profondément outré, a rapidement réagi sur les réseaux sociaux. Dans un message posté sur Instagram, l’artiste de 52 ans a exprimé sa colère.

“À AUCUN MOMENT, JE N’AI DONNÉ UNE QUELCONQUE AUTORISATION”
“À aucun moment, je n’ai donné une quelconque autorisation d’y diffuser ma musique. J’affirme que jamais je ne l’aurais donnée”. Le chanteur a souligné que ses chansons n’étaient pas destinées à servir des fins politiques, quelle que soit l’idéologie en question. Selon lui, ses chansons “appartiennent au public et seulement au public », a-t-il insisté.

UNE ATTEINTE AU DROIT MORAL ?
Paul École, l’auteur des paroles de “1987”, partage l’indignation de Calogero. Ensemble, ils déplorent une atteinte à leur droit moral, estimant que leur œuvre a été détournée pour servir un discours politique qu’ils ne cautionnent pas.

CALOGERO ENVISAGE DE PORTER PLAINTE
“Je m’oppose fermement à ce que l’on, quelque parti que ce soit, récupère ma musique”, a déclaré Calogero, ajoutant qu’il envisageait de donner une suite judiciaire à cette affaire.

CALOGERO REFUSE TOUTE RÉCUPÉRATION POLITIQUE
Calogero reste donc déterminé à défendre son intégrité artistique et à protéger son œuvre contre toute récupération non désirée.

Ce lundi 3 juin 2024, le chanteur Calogero a exprimé publiquement son indignation envers Jordan Bardella, le président du Rassemblement National, pour l’utilisation non autorisée de l’une de ses chansons lors d’un meeting politique.

UNE MUSIQUE DE CALOGERO UTILISÉE LORS DU MEETING DU RASSEMBLEMENT NATIONAL
Utiliser des morceaux célèbres pour rythmer des rassemblements et galvaniser des partisans, les hommes politiques le font tous ! Que ce soit pour marquer leur entrée en scène ou pour conclure leurs discours sur une note mémorable, ces choix musicaux sont souvent soigneusement calculés. Jordan Bardella, président du Rassemblement National, n’échappe pas à cette tradition. Cependant, il pourrait bien devoir revoir ses choix après l’incident survenu ce dimanche 2 juin 2024.

Lors d’un meeting au Dôme de Paris, l’un des derniers avant les élections européennes du 9 juin, Jordan Bardella a diffusé « 1987 » de Calogero pour clôturer son discours. Cette décision a immédiatement suscité des réactions en ligne. Le compte @EnModeMacron a rappelé sur Twitter : « Pour rappel, 1987 est l’année où Jean-Marie Le Pen parle pour la première fois du ‘point de détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale’« . En 1987, Jean-Marie Le Pen, alors à la tête du Front National, avait déclaré que les chambres à gaz n’étaient qu’un « point de détail de l’histoire » de la Seconde Guerre mondiale. Ces propos, restés tristement célèbres, continuent de hanter le parti. Ainsi, l’utilisation de la chanson « 1987 » par Jordan Bardella a été perçue par certains comme une provocation délibérée, voire un clin d’œil à ce passé controversé.

CALOGERO EN COLÈRE CONTRE JORDAN BARDELLA
Calogero, profondément outré, a rapidement réagi sur les réseaux sociaux. Dans un message posté sur Instagram, l’artiste de 52 ans a exprimé sa colère : »À aucun moment, je n’ai donné une quelconque autorisation d’y diffuser ma musique. J’affirme que jamais je ne l’aurais donnée« . Le chanteur a souligné que ses chansons n’étaient pas destinées à servir des fins politiques, quelle que soit l’idéologie en question. Selon lui, ses chansons « appartiennent au public et seulement au public », a-t-il insisté.

Paul École, l’auteur des paroles de « 1987« , partage l’indignation de Calogero. Ensemble, ils déplorent une atteinte à leur droit moral, estimant que leur œuvre a été détournée pour servir un discours politique qu’ils ne cautionnent pas. « Je m’oppose fermement à ce que l’on, quelque parti que ce soit, récupère ma musique« , a déclaré Calogero, ajoutant qu’il envisageait de donner une suite judiciaire à cette affaire. Calogero reste donc déterminé à défendre son intégrité artistique et à protéger son œuvre contre toute récupération non désirée.

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